…….what else ? …….

quand on est aimé, on ne doute de rien, quand on aime, on doute de tout……

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19 avril, 2007

… fair the well for i must leave you …

Classé dans : texte — quadra1702 @ 22:44

                                  ....................fair the well for i must leave you...................

 

…. Tant de choses se bousculent dans ma tête …
…. Dans un coin sombre de mon esprit, quelque chose végète …

… Pensées obscures et idées confuses me tourmentent …
… je ne veux l’admettre, et pourtant, leur présence me hante …

… D’où viennent ces défis que je me crois le devoir de relever …
… Fatums énigmatiques, entités diffuses à affronter …

 … quels sont ces arcanes que je me dois de dénouer …
… et surtout, que dois-je faire pour y arriver …

… je me sens attiré vers des horizons lointains …
… paysage obscur où m’attend mon destin …

… au plus profond de mon âme, dans mon subconscient …
… je sens qu’arrive l’heure du dénouement …

… il est temps de faire face, d’accomplir ma destiné …
… le moment est venu d’assumer mes responsabilités …

… dans ma quête à découvrir la vérité …
… il se peut que je sois obligé de changer …

… toutefois mon essence même restera inaltérée …
… et vous resterez tous, à jamais dans mes pensées …

… je dois à présent m’en aller, vous quitter …
… et effectuer le travail pour lequel j’ai été crée …

… je suis et resterai toujours ton ami …

Classé dans : texte — quadra1702 @ 22:42

                         ........je suis et resterai toujours ton ami...........

 

…. Un brouhaha incessant m’entoure et embrouille mes sens ….
…. Assis, j’attends impatiemment que le spectacle commence …..

…. Un clown jongleur, accompagné d’une fille en échasses ….
…. Guident les spectateur et leur montrent leurs places ….

…. Bien que les fenêtres soient ouvertes, l’atmosphère est pesante ….
…. En ce début du mois d’avril, la météo est plus que clémente ….

…. Au moment ou la lumière s’éteint, le léger tumulte cesse ….
…. Les onze coups rapides du régisseur emplissent la pièce ….

…. Suivis de trois coups lents, annonçant le début de la représentation ….
…. Sous les feux des projecteurs, le comédien fait son apparition. ….

…. D’emblée je ressens une drôle de sensation, un sentiment diffus ….
…. Car sur les planches, l’artiste ne m’est pas du tout inconnu ….

…. J’ai toujours su que celui que je considère comme mon frère ….
…. Avait du talent, du brio, de l’aisance et beaucoup de savoir faire ….

…. Mais je reste déconcerté par son adresse, son éclat, sa prestance ….
…. Son interprétation est magistrale, son jeu tout en élégance ….

…. Sans sur jouer avec ses gestes, ses mimiques, il nous fait rire ….
…. Redevenant sérieux l’espace d’un moment, nous fait réfléchir ….

…. Captivé, envoûté, je suis comme hypnotisé ; il capte mon attention ….
…. par ses facéties, son discours, sa rhétorique, ses déclamations ….

…. La dernière réplique me sort quelque peu de ma contemplation ….
…. La pièce est finie, les comédiens saluent sous les exclamations ….

…. Et du haut de l’estrade, humblement,son regard m’est seul destiné ….
…. Hochant la tête, il me salut ; le temps s’arrête, je suis pétrifié ….

…. Notre amitié, je le sais, a quelque chose de rare, d’exceptionnelle ….
…. Je suis convaincu ce soir, qu’elle est unique irremplaçable et éternelle ….

…eternel recommencement …

Classé dans : texte — quadra1702 @ 22:40

                 .............bis repetita .............

 

 

…. Quelle est cette drôle d’engeance ….
…. Que l’on appelle existence ….

…. Bousculé, chahuté de toute part ….
…. Sur notre route, que des remparts ….

…. Qui se permet de tant malmener ….
…. La voie idéale que l’on s’est fixée ….

…. Quelle idée d’avoir imaginé le destin ….
…. Ne doit-il occasionner que du chagrin ….

…. Il faut pourtant arriver à l’apprivoiser ….
…. Pour enfin en découvrir le bon côté ….

…. Le cours de notre vie n’est pas tracé ….
…. Il ne tient qu’à nous de le modifier ….

…. Avec force, sagesse et courage ….
…. Nous laisserons passer l’orage ….

…. Mais ne nous laissons pas abuser ….
…. Même si le ciel a un couleur bleutée ….

…. À l’horizon, se dressent des nuages menaçants ….
…. Prêt à enténébrer, obscurcir le firmament ….

…. Était-ce par manque de tendresse, d’affection ….
…. Que j’ai opté, machinalement, pour cette solution ….

…. Espérant y trouver le remède à mes maux ….
…. Satisfaire, apaiser, soulager ma libido ….

…. Le contentement s’est vite mué en morosité ….
…. Me laissant pantois, complètement désemparé ….

…. En voulant simplement soulager mon désarrois …
…. Je n’ai réussi qu’a exacerber, aggraver mon émoi ….

…. À nouveau je me retrouve seul, éclopé, meurtri ….
…. Le danger était évident et pourtant j’en ai fait fi ….

…. Je crains fort ne pouvoir jamais contrôler mes sentiments …
…. Croire en une romance utopique, quel délire, quel égarement ….

…. Je désire simplement retrouver la paix, accéder au bonheur ….
…. Serrer dans mes bras une personne chère à mon cœur ….

…kapla’h mon frère…

Classé dans : texte — quadra1702 @ 22:38

…. Seul j’erre dans un univers chaotique ….
…. Peuplé de spectres et d’ombres fantomatiques ….
….

….Comment trouver un repère dans ce brouillard ….
…. Ne me réveillerai je donc jamais de ce cauchemar ….

…. Certains demanderons pourquoi avoir pris cette route ….
…. D’autres, empiriques, diront d’y aller coûte que coûte ….

 …. Je dois avouer que ma naïveté et mon manque d’expérience ….
…. Ont grandement contribuées à cet état de déchéance ….

…. Mais on ne me qualifiera pas de défaitiste ….
…. Et en aucun cas je ne serai fataliste ….

 …. Dans tout labyrinthe existe, quelque part, une issue ….
…. Partir en quête de cette sortie, voila mon but ….

…. Et qui sait, dans ce dédale, tout comme Thésée ….
…. Trouverai-je un fil à suivre pour m’évader ….

…. Le chemin risque d’être rude et parsemé d’obstacles ….
…. Mais cela ne fait-il pas parti du spectacle ….

…. Vous tous qui vous désignez comme mes amis ….
…. Et qui depuis si longtemps, de ma vie, faites partie ….

…. Ne cherchez pas à me comprendre ni à me juger ….
…. Mais par altruisme et par amitié, simplement m’épauler ….
                    .... KAPLAH MON FRERE ....

…naiveté ou candeur …

Classé dans : texte — quadra1702 @ 22:33

                   .... NAIVETE OU CANDEUR ? ...........

 

 

….L’estocade a été portée en plein cœur ….
…. Occasionnant une fulgurante douleur ….

…. Le coup imprévisible et brutal ….
…. Lui a fortement sapé le moral ….

…. Il s’aperçoit qu’il s’est fait un scénario ….
…. Et à cette pensée, il se sent idiot ….

…. Déchiré tout au fond de son être ….
…. Disparue la joie qui venait de naître ….

…. Le regard embué, il a envi de se pendre ….
…. Mais comme le phénix, il renaîtra de ses cendres ….

…. Plus sage, plus fort qu’auparavant ….
…. Prêt à tomber dans un nouveau guet-apens ….

… rêveries …

Classé dans : texte — quadra1702 @ 22:31

                       ..............illusions perdues .............

 

 

…. J’ai croisé le regard d’une fée ….
… Étincelant, magique, j’ai été envoûté ….

…. une apparition d’une beauté angélique, ….
…. Céleste, délicieuse, d’une grâce séraphique ….

…. Son sourire m’a totalement désarçonné ….
…. Sa prestance, sa façon de se déplacer ….

…. Ont mis à nu mon pauvre petit cœur ….
…. Ému, frappé par tant de splendeur ….

…. Mais peut-on décemment se bercer d’illusions ….
…. De la réciprocité des sentiments, des intentions ….

……..pour mon bèbè ……..

Classé dans : texte — quadra1702 @ 22:28

                    ..... POUR ALEX.....

Le temps est venu de partir
De chasser, d’annihiler tous les souvenirs

L’existence, ainsi, ne peut être vécue
Sans se sentir quelque peu soutenu.

Nous n’aurions jamais du nous rencontrer
Et en aucun cas, je n’aurai du persévérer

Mais comment aurais-je pu résister
À ton charme, ta grâce, ta beauté.

Tu as toujours été si naturelle
Désirable, séduisante, exceptionnelle

Je guettais le moindre de tes sourires
Un regard volé, un éclat de rire

Ébranlait instantanément mon cœur
Donnant l’impression d’un éphémère moment de bonheur

Il est néanmoins inutile de courir après des chimères
Croire en de vaines illusions peut coûter très cher

Il ne me reste plus qu’à essayer de t’oublier
Et de continuer à vivre, le cœur ensanglanté

le dormeur doit se reveiller ! ( dune )

Classé dans : texte — quadra1702 @ 19:44

                                 ......... LE DORMEUR DOIT SE REVEILLER ..................

 

………………………………………………………………..
….. IL FAUT DANS LA VIE SAVOIR S’ARRETER …..
….. SE RETOURNER ET LA SITUATION ANALYSER …..
*
….. EN PLEINE CONSCIENCE ET EN TOUTE OBJECTIVITE …..
….. LES EVENEMENTS ET LES FAIT SE REMEMORER …..
*
….. AUCUNE DECISION NE DOIT ETRE PREMATUREE …..
….. PRISE A LA HATE, ELLE PEUT TOUT CASSER …..
*
….. MAIS SI LE FIASCO EST LA CONCLUSION LOGIQUE …..
….. POURQUOI PERSISTER DANS CET UNIVERS ONIRIQUE …..
*
….. LE DORMEUR DOIT UN JOUR SE REVEILLER …..
….. SORTIR DE SA LETHARGIE, S’EMANCIPER …..
*
….. PAR DEFINITION, CHACUN A DROIT AU BONHEUR …..
….. ALORS PLUS DE LARMES NI DE PLEURS …..
*
….. REDEVENIR MAITRE DE SON DESTIN …..
….. S’ORGANISER, PRENDRE SA VIE EN MAINS …..
*
….. LA JOIE ET LE PLAISIR NE SONT PAS ACCESSOIRES …..
….. LA OU IL Y A LA VIE, IL Y A L’ESPOIR …..
………………………………………………………………………………..

just one step from a man

Classé dans : moi,texte — quadra1702 @ 19:32

                     ..............just one step from a man .....................

avant.jpg4aot2007.jpg

Dame nature est une entité d’une élémentaire complexité
Sa faculté régénératrice ainsi que sa formidable créativité

Arrive à renverser une situation impossible voire insurmontable
En une fantastique victoire aussi étonnante qu’incroyable

Darwin, avec sa thèse sur l’évolution des espèces
En démontre l’efficacité ; assimilable à de la sagesse

L’humain quant à lui de par sa suffisance et son entêtement
S’éloigne de cette faculté d’adaptation, de développement.

Cette catagenèse n’est pas pour autant un renoncement
Mais plutôt l’oubli de cette aptitude de perfectionnement.

Nous estimons contrôler notre vie et tenir notre avenir en main
Mais ne sommes pourtant aucunement maître de notre destin.

Tous les artifices, stratagèmes ,et autres conditionnements
Nous font croire à notre libre arbitre, notre liberté de mouvement

Enfermé dans notre bulle, nous n’avons plus de discernement
Et tels de gentils petits cobayes, nous obéissons aveuglement.

Par savoir-vivre, nous nous conformons à notre éducation
Ne pas sortir du moule, impérieuse exigence, injonction.

J’ai passé plusieurs années de ma vie à me punir, me châtier
inhibant ma véritable nature, me cachant derrière mon obésité

Cependant on ne peut, éternellement, étouffer son individualité
tôt au tard, elle se rebelle, et remonte à la surface, faible mais libérée

Et le miracle se produit, comme la chrysalide dans son cocon
La mutation s’opère pour donner naissance au plus beau des papillons.

Bien que je sois encore en pleine phase de gestation, de transformation
La métamorphose s’est déclenchée permettant ainsi ma reconstruction .

Il m’est pourtant encore difficile, voire quelque peu singulier
D’accepter l’image que me reflète le miroir ; résultat inespéré.

 

… fatalité …

Classé dans : texte — quadra1702 @ 19:23

.................fatum ? .....................

 

….. pourquoi ne puis-je , après ces années, accéder à la tranquilité …..
….. y aura-t-il toujours une épée de Damoclès au dessus de moi accrochée …..

….. j’aimerai tant poursuivre ma vie, le coeur en paix, l’esprit serein …..
….. pourtant, tapi dans l’hombre le chaos se terre au détour d’un chemin …..

….. le plus risible est qu’il ne suffit souvent que d’un détail insignifiant …..
….. pour que surgissent craintes, cauchemars et spectres d’en temps …..

….. toutes ces déchirantes et blessantes épreuves que j’ai pu endurer …..
….. auraient du m’endurcir, me permettre mes émotions de contrôler …..

….. mais tel le collégien à la découverte de ses nouveaux sentiments …..
….. je suis désemparé par la véhémence de ce tourbillon menaçant …..

….. une parole, un sourire, un simple regard, peuvent parfois m’émouvoir …..
….. au point de me faire sombrer, sans raisons apparentes, dans le désespoir …..

….. il y a pourtant quelque chose de paradoxal, de réellement déconcertant …..
….. voir ce collossal gaillard, fondre en larmes et pleurer comme un enfant …..

….. mes pensées restent confuses et ma logique totalement incohérente …..
….. néanmoins je dois trouver le courage pour remonter seul, la pente …..

….. ces lacérartions profondes douloureuses et inaltérables …..
….. marquent mon âme affaiblie de cicatrices ineffaçables …..

….. comme le jour succède à la nuit, processus éternel et immuable …..
….. le chagrin viendra à s’atténuer ; laissant une emprunte durable

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